Comité 29.06.2020
BRAINSTORM STIFTUNGSTATUTEN n°1
Visiting member : Emilie Gremaud Commitee : Malcolm Braff, Nyima Sauser, Noé Franklé, Martìn Theurillat, Frédérique Margot, Claire Huguenin
Rappel : Nous avons la possibilité de racheter le bâtiment, l’avantage et aussi la nécessité. Nous devons nous positionner clairement comme acheteur d’ici environ un an vis-à-vis des propriétaires, faute de quoi l’usage que le projet fait du bâtiment va potentiellement dégrader la valeur locative du bâtiment. Nous visons la création d’une fondation qui deviendrait propriétaire et bailleuse à notre association Les Suites du Pantographe.
Malcolm : propose de retravailler les buts de l’association LSP dans une forme plus détaillée afin d’obtenir un panorama au sein duquel on choisirait ce qui tiendrait d’une valeur de la fondation ou de l’association.
Malcolm démarre :
Lieu où activité* « artistique » (*à définir) puisse se développer indépendemment de la logique du marché.
Martin : côté culturel / côté politique. Protéger une forme de vie manifestement animée (échange, écologie, jardinage, système argent interne) par une idéologie forte. À spécifier et départager, non ?
Malcolm : les activités* sont déjà fragilisées par la logique de marché, et non libres. L’autosuffisance alimentaire et autres mesures viennent réduire la charge des finances et sont des mesures qui s’appliquent dans la suite logique d’un désir de protéger les activités*.
Postulat : les activités* sont centrales pour la société. Il faut les protéger pour la sauvegarde de la société elle-même. Proposition : cf. texte lien dans statuts association. Les activités* font du lien. Le centre des activités créatrices comme étant de révéler des liens entre tout. Repostulat : la nature du monde est que tout est fait de lien. Un tissu du réel que les activités* révèlent.
Claire résume : le monde c’est tout lié. Le voir est nécessaire, les activités* révèlent cette réalité,
Malcolm : le travail de mettre en lien l’objet d’art avec le public, réussir à mettre en contact ce qui se passe dans le lieu du projet avec les gens du dehors = aussi un lien. Prendre soin des activités* pour qu’elle puisse fleurir.
Emilie : « encourager » les activités*
Malcolm : notion de collectif (loyer comme-ci), mais aussi pratique de la collectivité (au sens concentrique qui finit par englober le monde) basé pour l’instant sur les principes permaculturels. NB : système où les objets du systèmes sont reliés de façon redondante est résilient. Le lieu comme une « poche de résilience » dans le contexte de l’effondrement économique/culturel annoncé.
Il faut définir l’activité. Qu’essaye-t-on de promouvoir :
Martin propose un Qu’en pensez-vous ? Frédérique : ça me parle beaucoup, Malcolm m’en avait parlé avant que je décide de venir et c’est aussi la base de ma venue ici. Comme dit Nyima, je souhaite qu’on écrive, qu’on développe petit à petit. C’est pas vraiment non plus mon domaine…
Noé : je pense qu’il faut aller au-delà de l’idée de lieu-abris qui protège qqch. Expérimentation.
Rappel : choix opérés dans les statuts concernant espace privé/collectif et contribution libre nature/importance.
Cf. Remarque de Max : Résidence : terme à revoir ?
On essaye d’attaquer un thème jusque là inabordé mais C’est qui qui vient et à quelle condition ? Quelles sont les conditions d’accueil d’une nouvelle personne pour vivre en permanence ?
Malcolm : propose de présenter le projets aux demandeurs en proposant d’adhérer au principe de participation libre à la collectivité
On distingue des catégories d’usagers: résidents permanents résidents temporaires visiteurs de résidents permanents ou temporaires public
Martin propose d’exiger la participation après la visite essai. La notion d’exigence est rejetée. Accent sur la communication de certaines valeurs.
Martin : pour la prochaine fois, qualité des différents usagers par écrit.
But : Population : Règlement: Lieu :
Claire : Modularité des espaces, et du temps ?
Remarque finale : caractère expérimental.
Visiting member : Emilie Gremaud Commitee : Malcolm Braff, Nyima Sauser, Noé Franklé, Martìn Theurillat, Frédérique Margot, Claire Huguenin
Rappel : Nous avons la possibilité de racheter le bâtiment, l’avantage et aussi la nécessité. Nous devons nous positionner clairement comme acheteur d’ici environ un an vis-à-vis des propriétaires, faute de quoi l’usage que le projet fait du bâtiment va potentiellement dégrader la valeur locative du bâtiment. Nous visons la création d’une fondation qui deviendrait propriétaire et bailleuse à notre association Les Suites du Pantographe.
Malcolm : propose de retravailler les buts de l’association LSP dans une forme plus détaillée afin d’obtenir un panorama au sein duquel on choisirait ce qui tiendrait d’une valeur de la fondation ou de l’association.
Malcolm démarre :
Lieu où activité* « artistique » (*à définir) puisse se développer indépendemment de la logique du marché.
Martin : côté culturel / côté politique. Protéger une forme de vie manifestement animée (échange, écologie, jardinage, système argent interne) par une idéologie forte. À spécifier et départager, non ?
Malcolm : les activités* sont déjà fragilisées par la logique de marché, et non libres. L’autosuffisance alimentaire et autres mesures viennent réduire la charge des finances et sont des mesures qui s’appliquent dans la suite logique d’un désir de protéger les activités*.
Postulat : les activités* sont centrales pour la société. Il faut les protéger pour la sauvegarde de la société elle-même. Proposition : cf. texte lien dans statuts association. Les activités* font du lien. Le centre des activités créatrices comme étant de révéler des liens entre tout. Repostulat : la nature du monde est que tout est fait de lien. Un tissu du réel que les activités* révèlent.
Claire résume : le monde c’est tout lié. Le voir est nécessaire, les activités* révèlent cette réalité,
Malcolm : le travail de mettre en lien l’objet d’art avec le public, réussir à mettre en contact ce qui se passe dans le lieu du projet avec les gens du dehors = aussi un lien. Prendre soin des activités* pour qu’elle puisse fleurir.
Emilie : « encourager » les activités*
Malcolm : notion de collectif (loyer comme-ci), mais aussi pratique de la collectivité (au sens concentrique qui finit par englober le monde) basé pour l’instant sur les principes permaculturels. NB : système où les objets du systèmes sont reliés de façon redondante est résilient. Le lieu comme une « poche de résilience » dans le contexte de l’effondrement économique/culturel annoncé.
Il faut définir l’activité. Qu’essaye-t-on de promouvoir :
Martin propose un Qu’en pensez-vous ? Frédérique : ça me parle beaucoup, Malcolm m’en avait parlé avant que je décide de venir et c’est aussi la base de ma venue ici. Comme dit Nyima, je souhaite qu’on écrive, qu’on développe petit à petit. C’est pas vraiment non plus mon domaine…
Noé : je pense qu’il faut aller au-delà de l’idée de lieu-abris qui protège qqch. Expérimentation.
Rappel : choix opérés dans les statuts concernant espace privé/collectif et contribution libre nature/importance.
Cf. Remarque de Max : Résidence : terme à revoir ?
On essaye d’attaquer un thème jusque là inabordé mais C’est qui qui vient et à quelle condition ? Quelles sont les conditions d’accueil d’une nouvelle personne pour vivre en permanence ?
Malcolm : propose de présenter le projets aux demandeurs en proposant d’adhérer au principe de participation libre à la collectivité
On distingue des catégories d’usagers: résidents permanents résidents temporaires visiteurs de résidents permanents ou temporaires public
Martin propose d’exiger la participation après la visite essai. La notion d’exigence est rejetée. Accent sur la communication de certaines valeurs.
Martin : pour la prochaine fois, qualité des différents usagers par écrit.
But : Population : Règlement: Lieu :
Claire : Modularité des espaces, et du temps ?
Remarque finale : caractère expérimental.